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Les arnaques à la création d’entreprise

Temps de lecture : 2 minutes

Publié le 01 juin 2012

Mis à jour le 02 juillet 2015

Claude Robin

Claude Robin

Lorsque l’on créée une entreprise aujourd’hui, on reçoit rapidement de nombreux courriers et ce n’est pas toujours facile de savoir ce qui est sérieux et ce qui ne l’est pas. Et il semblerait qu’il y ait de plus en plus d’arnaques…

C’est vrai, on rencontre de plus en plus d’entrepreneurs et de créateurs d’entreprise qui se font voler en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, 200, 400, 600 € pas des sociétés peu scrupuleuses.

En fait, il y 3 catégories d’arnaques :

  • Les propositions d’immatriculation à des registres bidons.
  • Les propositions d’adhésion à des organismes de retraites facultatifs.
  • Les propositions de souscription de contrat d’assistance et de maintenance présentés comme obligatoires.


L’immatriculation à des registres bidons tout d’abord

Il faut faire attention à ce que l’on dit, parce que ces sociétés, souvent situées à l’étranger, Belgique, Malte… n’hésitent pas à utiliser les services de grands cabinets d’avocats pour se défendre et empêcher que l’on dise du mal d’eux. Même Bercy n’arrive pas à les coincer.

Donc, je ne vais pas vous parler de fraudeurs.

Par contre, je vais vous parler de sociétés très sérieuses qui vous proposent d’être immatriculé, moyennant finances dans leur registre, c’est-à-dire sur un site Internet quelque part sur le web.

Ca s’appelle XXX et ça n’a aucun rapport avec votre code APE, mais ça coute 234 €
Ca s’appelle XXX …. Ca s’appelle INFO XXX

Donc surtout, ces sociétés ne sont pas des arnaques. Elles vous permettent d’être immatriculé dans des registres, qui ne sont pas obligatoires….

D’accord, merci, on a bien compris, donc reparlons  des arnaques vous parliez d’un deuxième groupe … ?

Deuxième groupe, l’affiliation à des organismes de retraite facultatifs…

Et troisième groupe ?

Ce ne sont pas de vrais arnaques mais ce sont des sociétés qui abusent de l’innocence des créateurs d’entreprise pour leur faire croire, qu’ils ont l’obligation d’avoir soit un contrat de maintenance, soit une assurance juridique, un contrat…

Dans ce cas, comment faire alors quand on a un doute ?

Le mieux c’est de se faire conseiller par un expert comptable ou un avocat…

 

Article publié initialement le 1 juin 2012

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